HANDALA : L’ICONE DE LA RÉSISTANCE PALESTINIENNE

Hommage à Naji Al Ali, caricaturiste palestinien assassiné en 1987

Jeudi 18h à Manifesten (59 rue thiers 13001)

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– Exposition d’un choix de dessins de Naji Al Ali
Vernissage à partir de 18h30 – expo jusqu’15 septembre

– À 19H30, Intervention de Wissam Al Hadj, journaliste palestinien de Gaza

– À 20h30, Concert rap avec le groupe Refugees of Rap
(groupe syro-palestinien qui s’est créé dans le camp de réfugié de Yarmouk, situé en banlieue de Damas).

(soirée organisée par la GUPS / Union Générale des Étudiants de Palestine
avec le soutien de l’Action Antifaciste / Collectif Nosotros)

Gaza : Rassemblements manifestations et témoignage

Gaza : Rassemblements et manifestations

Prochains rendez-vous : Aubagne : mardi 19 août à 18 h

rdv au pôle d’échange de la gare d’Aubagne
lire l’appel des organisations :
http://www.millebabords.org/spip.php?article26519

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Un témoignage en direct de Gaza : Dimanche 10 août 2014. Il est 19 h à Gaza
plus d’infos sur le site de l’UJFP-Union Juive Française pour la Paix

http://www.ujfp.or /spip.php?article3310#marseille



Trente –quatrième jour de l’offensive militaire israélienne sur la bande de Gaza
– Crimes de guerre et crimes contre l’humanité à Gaza commis par l’armée de l’occupation israélienne.
– Notre population est confiante malgré les massacres, les crimes, et les attaques sanglantes de cette armée barbare, elle affronte cette réalité cruelle avec une volonté remarquable et une patience extraordinaire.
– La population civile à Gaza apprécie beaucoup les manifestations de soutien partout dans le monde-Vive la solidarité internationale avec Gaza et contre les crimes israéliens-

L’armée israélienne intensifie ses bombardements sur Gaza après la trêve de 72 heures malgré la retenue des factions de Gaza.

20 morts dont trois enfants et deux femmes en deux jours partout dans la bande de Gaza.
70 blessés dont 10 enfants et 13 femmes
Un agent municipal a été tué au nord de la bande de Gaza
25 maisons détruites
3 mosquées détruites
Deux stades municipaux et un club sportif bombardés
Le port de Gaza bombardé.
Un cimetière bombardé dans la ville de Gaza
Beaucoup de terrains agricoles visés
Quelle horreur !

Destruction massive dans la bande de Gaza : habitations, routes, écoles, universités, cimetières, infrastructures civiles, usines et terres agricoles.

Quelle barbarie !
Et ça continue !

Le bilan s’alourdit au trente-quatrième jour de l’offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza et sa population civile :
– 1 920 morts palestiniens jusqu’à cette heure-ci, dont 420 enfants, 233femmes et 105 personnes âgées suite à des bombardements israéliens en trente-quatre jours.
– 9 790 blessés lors de ces bombardements aveugles de l’armée de l’occupation israélienne, dont 1 510 femmes, 400 personnes âgées et 2 570 enfants
– Plus de 7 750 raids israéliens en trente-quatre jours partout dans la bande de Gaza

Quelle horreur !
–  2 520 maisons ont été détruites suite à ces bombardements aveugles
– 5 770 maisons endommagées par les bombardements
– Plus de 25 200 personnes sont sans-abri après la destruction de leurs maisons.
– 125 mosquées ont été détruites

C’est terrible !

Nous nous lâchons rien !
Nous ne désespérons pas !
La lutte continue
Nous nous défendrons jusqu’à la dernière goutte de notre sang
Jusqu’à notre dernier souffle

Gaza sera toujours debout !
Gaza résiste, Gaza existe et Gaza persiste !

Palestine vivra, Palestine vaincra !

Amitiés de Gaza sous les bombes

Ziad

Roms : la traque policière se poursuit

La traque policière menée par les autorités se poursuit depuis l’expulsion
du boulevard Plombières le 24 juillet, les associations appellent à la
mobilisation.
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Elles sont encore plusieurs familles, quelques 60 personnes dont plus d’un
tiers d’enfants en bas âge, à continuer à subir une marche forcée dans les
rues de Marseille après avoir été délogées le 24 juillet dernier du
boulevard de Plombières. Depuis, la traque policière continue et aucun
répit n’est accordé aux familles expulsées dont l’état d’épuisement se
dégrade de jour en jour. Une situation jugée « désespérée » par les
associations qui soutiennent les Rroms au quotidien et dont les moult
rencontres en préfecture sont restées infructueuses. « Les autorités se
félicitent de la mise à l’abri temporaire de quelques familles, raconte
Caroline Godard de Rencontres tsiganes, mais elles sont encore nombreuses
à subir une marche forcée et sont de plus en plus épuisées. »

Une situation dramatique qui amène les associations militantes à se
mobiliser via l’interpellation prochaîne du Préfet et quelques actions
menées dans l’urgence par d’autres organisations pour dénoncer une «
situation humanitaire dramatique et intolérable  » et « que
soit accordée une trêve jusqu’à la mise à disposition d’un terrain adéquat
», précise cette fois Framboise de l’association Arte Chavalo dont un
texte d’appel au rassemblement a été lancé hier en vue d’une manifestation
publique organisée dans les jours prochains. « Pas une seule journée n’est
passée sans que la police ne vienne les déloger du moindre bout de terre
où elles se sont posées. Jour et nuit elles sont pourchassées et la police
a reçu l’ordre de ne leur laisser aucun répit jusqu’à ce qu’elles quittent
la ville », raconte encore la militante d’Arte Chavalo à propos des
familles délogées chaque matin des différents parkings et squares jouxtant
le boulevard de Plombières. « Nous dénonçons la politique discriminatoire
qui est menée à leur encontre et qui génère pour la population dans son
ensemble de graves risques de troubles à l’ordre public auxquels sont
exposés des enfants et des personnes innocentes », indique-t-on encore en
sollicitant la Ville de Marseille afin que soit mis à disposition,
«   en urgence et de manière provisoire, un terrain et des
conditions sanitaires acceptables pour recevoir ces familles et permettre
aux associations de faire leur travail de scolarisation et
d’accompagnement social vers les organismes spécialisés  ». Devant
cette traque continue et l’absence totale de réponse face à la situation
humanitaire dramatique que connaissent ces personnes laissées sans toit ni
soin, l’organisation a décidé hier avec l’accord des familles d’occuper un
terrain vacant de la ville de Marseille « afin d’alerter les pouvoirs
publics, l’Etat et l’Europe en vue de demander la mise en place d’une
solution d’urgence afin de répondre à ce scandale humanitaire ». Une
initiative péniblement lancée en même temps que la célébration de la
mémoire des Gitans déportés dans les camps de concentration en août 1914.

sources :  La Marseillaise

A qui appartient le cours Julien ? Au patron du bar La Rhumerie ?

Samedi 2 août, vers 20h, quelques personnes sont posées tranquillement à plusieurs mètres de la terrasse du bar La Rhumerie, sur le cours Julien, lorsque le patron leur ordonne de partir rapidement de là. Le groupe refuse en répétant qu’on s’assoit où on veut dans l’espace public. Cinq minutes plus tard, 6 gros bras, commandités par le patron, débarquent et commencent à tabasser le groupe. Une des personnes part à l’hôpital avec un traumatisme crânien et une amnésie temporaire. Des passants tentent de s’interposer et de calmer les « gros bras » et se font jeter violemment dans la fontaine.

Jeudi 7 août, vers 19h, une autre personne se fait démonter la tête par le même patron sous prétexte qu’elle n’avait rien à faire dans le quartier. La patronne sort son flingue et le menace, en se vantant qu’elle aurait dû le « calibrer ». La politique de la maison est alors d’acheter le silence des clients en leur offrant un punch ! Des habitué.e.s des bars du cours Julien et des habitant.e.s du quartier tentent de réagir. Le patron pète un câble, menace de mort toutes les personnes qui passent : « le cours Julien c’est chez moi, pas chez vous! Je vous mets dans la cave et je vous tue », frappe plusieurs personnes avant que la patronne ne se remette à menacer tout le monde avec son pistolet qu’elle brandit à un mètre du toboggan et des enfants. Avec la crosse, elle éclate l’arcade d’une des personnes qui tentait de calmer le patron de la Rhumerie…

Ces agressions ne sont pas les premières. D’autres habitant.e.s du quartier sont terrorisé.e.s par les testostéronneries du patron de La Rhumerie et de ces gros bras. Ils cherchent la bagarre avec tous ceux qui ne consomment pas à leur terrasse, parce que leur présence rebute le client, disent-ils. Ce qui se passe au Cours Julien est à l’image d’une dynamique plus globale sur Marseille : ceux qui n’ont pas les moyens ou l’envie de consommer sont chassés des quartiers populaires pour faire place nette aux investisseurs et aux touristes. Ainsi, rue de la république, ou encore à Noailles, les flics traquent et tabassent qui bon leur semble, tranquillement filmés par les caméras de plus en plus nombreuses!

On habite la rue, elle n’est pas juste un lieu de passage entre le travail, les banques et les boutiques. On habite les squares, les places et les bancs. On se rencontre et on se parle où on veut, pas besoin de payer ni de demander l’autorisation d’être, là ou ailleurs, seul.e ou ensemble, avec ou sans papiers. L’insécurité c’est la propriété et le fric qui la créent et nous en avons là une belle démonstration.

Rassemblement samedi 9 août au Cours Julien.

Rdv à 18h30 à la Plaine côté St Savournin pour y aller ensemble.

Traque sans relâche des familles Rroms à Marseille

enfant-prison_400 Situation alarmante pour les populations Roms de la région marseillaise et
au-delà.

Des conditions déplorables, une traque orchestrée par l’Etat français, ses
collectivités territoriales et les forces du désordre sans relâche et
surtout sans solution !

En 2012, un collectif réquisitionne un bâtiment vide le 91 avenue de
Plombières.

Un an plus tard lors de l’expulsion du 91 avenue de Plombières, aucune
solution durable et décente n’a été prise par la ville et les institutions
et ce malgré la traditionnelle promesse devant les caméras le 23 juillet
2013, lancée entre-autres par la préfète à l’égalité de chances, qui n’est
rien d’autre qu’une policière en fonction déguisée, l’égalité donc mais
pas pour tout le monde.

Les familles sont de nouveau en errance dans les rues de Marseille, sous
un soleil de plomb, il n’y a pas qu’en hiver que les conditions de vie
sont dures, en été elles sont même plus difficiles : la chaleur, le manque
d’eau, les orages courts mais violents, ajouté à la traque sans relâche
qu’elles subissent, mais en été les yeux et les esprits sont tournés vers
les vacances, la mer …

Installées dans un terrain vague en face du 91, les familles n’y sont pas
délogées, les murs sont hauts, les portes opaques, cachées au yeux de
tou.te.s.
Elles y resteront un an jour pour jour, avant que la saison des expulsions
ne batte sont plein et réussisse à les jeter à la rue une fois de plus
dans le plus grand silence le 24 juillet 2014 au petit matin, démolissant
leur village de fortune : ce qu’on appelle aussi bidonville.

Aujourd’hui strictement aucune solution pour ces familles, elles marchent
en quête d’une place publique, d’un parc public, d’un terrain public,
parfois pour quelques heures, puis pour une nuit, les forces du désordre
les délogeant au petit matin.
Des lieux publics mais pas pour tout le monde…

Une poignée de personnes se relaie et voient la situation se dégrader,
plus de collectif, ni de mobilisation effective, la résignation des
familles à déambuler, fatiguées, assoifées.

Des familles amenées à disparaître dans le silence le plus total avec la
complicité des institutions françaises, des forces du désordre, de la
préfecture et de la mairie.

Quelle société sommes-nous pour refuser de VOIR ?
AUCUNE PERSONNE N’EST ILLEGALE !
ROM AVEC OU SANS-PAPIERS, MIGRANTE, PAUVRE … !
DES LOGEMENTS POUR TOU.TE.S !
AVEC OU SANS AUTORISATION INSTITUTIONNELLE, TOUT DE SUITE !
SOLIDARITÉ ET ACTIONS CONCRÈTES AVEC LES POPULATIONS EN DIFFICULTÉ

Par une personne solidaire.

Pour plus de détails : http://www.millebabords.org/spip.php?article24097

Tour d’information, d’échange et discussion avec des réfugiés et des soutiens Les luttes des refugié-e-s en Europe organisé par NoBorder.

Mardi 5 août 2014 à 19.30h à l’infokiosque 38, rue Clovis Hugues, Marseille

Après la marche pour la liberté de Strasbourg à Bruxelles en mai/juin 2014, une personne du groupe „Lampedusa in Hamburg“ et des soutiens aux luttes des refugiées se lancent dans une tournée d’information et d’échange entre ces différentes luttes.
Faisant l’expérience de la marche pour la liberté, nous avons bien réalisé qu’il est important que ces mouvements se connectent toujours plus pour faire passer les informations sur les différentes luttes, de créer une transparence dans différents pays
pour nous unir contre ce système qui tue et qui essaye de s’éterniser malgré toute la résistance.
Solidarité_sans_papiersComme nous avons fait la connaissance de beaucoup de personnes formidables durant cette marche, nous avons pris cette opportunité pour élargir notre réseau de contacts, en essayant maintenant de nous connecter avec ceux qui n’ont pas eu l’occasion de participer à la marche.
On vous invite à nous retrouver pour des discours en solidarité avec tous et toutes ces refugié-es qui subissent pendant des années et des années de la répression dans les camps des refugiés, dans la rue, qui subissent l’isolement, l’emprisonnement, les expulsions, les déportations et la mort dans la mer méditerranéenne tout comme au long des frontières de la forteresse Europe.

EXILÉ-E-S DE CALAIS Stop a la répression

Récup et projection
Dépot de matériel pour Calais et projection
Au 7 Rue de Mazagran 13001 Marseille
samedi 26 juillet 2014
de 15-20 h

En 2002, sous pretexe de mettre un terme ´´au probleme de l’immigration´´, le centre de la croix rouge en Sangatte est fermé.

Aujourd hui la situation explose…2014-04-13_Calais_Antifa_Defendons_les_squats-400x337

Le 28 mai 2014 deux grands camps et un plus petit ont été expulsés. Ils abritaient plus de 650 personnes.

Mercredi 2 juillet 2014, à 6 heures du matin, plusieurs compagnies de gendarmes mobiles, de CRS, la police nationale et la police aux frontières, se sont livrées à des rafles massives, simultanées et coordonnées de la population migrante de Calais. Sous couvert d’une opération d’expulsion des lieux de vie, 600 migrant-e-s ont été gazé-e-s, insult-é-e-s, humilié-e-s, terrorisé-e-s, arrêté-e-s, dans le silence et l’ombre puisque tous les témoins ont été violemment écartés des lieux d’arrestations.

Aujourd’hui à Calais, les migrant-e-s sont à nouveau été chassé-e-s de la ville.
1000 personnes ont été arrêté-e-s la semaine dernière en l´espace de 5 jours alors qu´ils/elles étaient dans des camions pour tenter de rejoindre l´Angleterre.

Il y a besoin de matériel à Calais

La liste des choses qui nous servent :
des tentes des couvertures, des sacs de couchage, des baches des vêtements (d’été), des chaussures, des chaussettes, des sous-vêtements, des serviettes…des aliments non périssables.

Il est possible de déposer tout ça au :

7 Rue de Mazagran 13001 Marseille

Non aux sanctions et aux licenciements au Théâtre du Merlan-Rassemblement de soutien mardi 22 juillet

Bonjour,
nous transmettons ici le communiqué de presse du Synptac Cgt du Merlan et
un appel à rassemblement solidaire.
La solidarité est notre arme, usons en !
CNT 13

Section SYNPTAC-CGT du Merlan, scène nationale
COMMUNIQUE du 20 juillet 2014

Non aux sanctions et aux licenciements au Théâtre du Merlan, il est temps
de changer de direction !

Alors que nous attendons l’appel à candidature et la nomination de la
nouvelle direction du Théâtre du Merlan scène nationale à Marseille, le 4
juillet 2014, le Merlan scène nationale envoie deux convocations à «un
entretien préalable à une sanction pouvant aller jusqu’au licenciement» à
deux salariées du Merlan, dont l’une est déléguée du personnel titulaire.
La convocation de la deuxième salariée est associée d’une mise à pied à
titre conservatoire.

Alors que les entretiens préalables à une sanction pouvant aller jusqu’au
licenciement se sont tenus le mardi 15 juillet, mardi 22 juillet 2014, le
Conseil d’Administration du Théâtre se réunit, et l’un des points porté
l’ordre du jour est : les projets de sanctions concernant ces salariées.

Pour mémoire, il leur est reproché de ne pas s’être présentées à la
«proposition de réunion» pour «décider ensemble» ce que deviendrait la
soirée de départ annulée (en soutien du mouvement des
intermittents) de Nathalie Marteau, ancienne directrice.

APPEL à un rassemblement de soutien
le mardi 22 juillet à 10h45, sur le parvis du Théâtre du Merlan,
Centre Urbain, avenue Raimu 13014 Marseille

Venez nombreux(ses)

Petit rappel des administrateurs de la liste :
Mardi 22 juillet 19h au local de Solidaires se tiendra l’Assemblée Générale du Collectif IntermittentEs et Précaires Marseille (CIP)

local de Solidaires
29 bd Lonchamp – 13001 –
M° 1 Les Réformés – Tram 2 National

Le Planning Familial 13 en danger, mobilisons-nous !

C’est la crise, les femmes trinquent… au Planning aussi !

Le Planning Familial en vacances forcées : pour la première fois nos
portes seront fermées du 4 au 15 août 2014

Le Planning Familial est une association majeure pour l’accès des femmes à
leurs droits. Avec la fermeture estivale de nombreuses structures, son
action est d’autant plus déterminante. En effet :

en été les difficultés d’accès à l’IVG s’amplifient. Le Planning
Familial est bien souvent la seule ressource pour accompagner les
femmes vers les structures concernées et mettre en place des démarches
facilitatrices ;
avec les congés des médecins, de nombreuses femmes s’adressent à nous
en urgence pour avoir accès à une contraception. En été, même les
centres de planification du conseil général orientent vers notre
association des femmes qu’ils ne peuvent pas accueillir ;
tout au long de l’année seul le Planning Familial accompagne les
femmes qui dépassent le délai légal d’avortement en France. En tant
qu’association de lutte pour le droit à l’avortement, nous les
informons et les orientons vers l’étranger quand elles le demandent.
Pour les femmes victimes de violences (sexuelles, conjugales, mariages
forcés etc.), la période estivale accroît davantage leur isolement et
engendre des situations d’urgence et de détresse encore plus aigües.

A cela s’ajoute l’activité régulière de l’association et la diversité des
demandes qui ne faiblissent pas.

Cette fermeture en plein été nous alarme : qui va prendre le relais ?

Ce qui génère cette douloureuse décision de fermeture, c’est notre
situation financière critique qui menace au-delà de cet été la poursuite
de nos activités. En effet nous accusons un déficit budgétaire de 70 000
euros sur l’année 2013, du fait de la baisse de certaines subventions et
de la non-revalorisation de nos actions par les pouvoirs publics. Il faut
noter également que depuis toujours nos permanences d’accueil individuel
sont déficitaires car ridiculement financées par l’État.

Les conséquences de cette crise sont catastrophiques :

licenciements et non-remplacements de départs ;
détérioration de nos conditions de travail ;
fragilisation de la qualité de nos activités.

Cette austérité nous n’en voulons pas ! Le Planning Familial 13 doit vivre !

AUJOURD’HUI NOUS NOUS BATTONS POUR CONTINUER NOTRE ACTION :

accueillir et écouter les 10 000 personnes qui s’adressent à nous
chaque année ;
aller à la rencontre des 7 000 jeunes dans le cadre de groupes de
parole ;
recevoir les femmes et les hommes sur les questions cruciales qui
déterminent la condition des femmes : sexualité, grossesse, couple,
maternité, violences, avortement, contraception, etc.
considérer les personnes qui s’adressent à nous comme des personnes et
non comme des « problèmes sociaux sur pattes » à résoudre.

Le Planning Familial 13 en danger, mobilisons-nous !

Planning Familial 13

www.leplanning13.org / info@leplanning13.org

Marseille,CHANTIER COLLECTIF du 12 au 18 juillet a la TORPILLE news lieu d activites!

La Torpille, 23 Rue des Phocéens, 13002

Appel chantier collectif à La Torpille jusqu’au 18 juillet

Suite à l’ouverture de « La Torpille », 23-25 Rue des Phocéens, un gros lieu d’habitation, mais aussi d’activités, on s’est dit qu’on avait envie de faire une salle de concert. Une salle de concert c’est cool parce qu’on kiff tous et toutes la zik, du coup ça serait aussi cool qu’on l’aménage collectivement.
On aimerait bien avoir un coup de main pour l’insonorisation, histoire qu’on soit plus efficace (parce qu’il y a beaucoup à faire) et qu’on fasse en sorte de pas trop faire chier les gens du quartier lors du concert Vendredi 18.

Du coup, si t’es motivé.e, du 12 au 18 Juillet, tu peux venir tous les jours à partir de 14h au 23 Rue des Phocéens pour participer, avec ou sans tes potes, avec ou sans véhicule, avec ou sans outils.

Do It Yourself c’est bien, Do It Together c’est encore mieux !

Les habitantEs de La Torpille

Encore et encore,un coup de pression des keufs à Noailles.

Mardi après midi, suite à un énième contrôle d’identité (rajouter au
facies est une redondance) quelque peu musclé, un vendeur à la sauvette a
bouffé du trottoir, des étoiles bleus, blancs, rouges dans les yeux.Des
passants énervés d’assister quotidiennement à ce genre de scène et
interloqués par la violence de l’intervention ont réagi en encerclant les
quelques flics et en les invectivant au cri de « assassins ! assassins ! ».
La tension monte. Assez vite, ces mêmes passants se sont eux mêmes
retrouvés encerclés par les renforts ayant saisi l’occasion de faire les
cow boys sur la Canebière. Ils ont réussi à interpellé au moins deux
personnes qui risquent de passer en comparution immédiate. Ca fait quelques mois qu’à Noailles, les flics pissent dans les coins,harcèlent
les habitants, pillent les stands,….
Une omniprésence qui se banalisent.
Un message clair : virer les pauvres du centre ville.

Un autre mail avertira des suites (si il y en a) pour les deux personnes
interpellées ; et d’un éventuel soutien devant le tribunal en cas de comparution immédiate.

DU BRUIT … les murs basculent !

A Marseille, un jeu du chat et de la souris s’est déroulé hier après-midi à proximité du centre pénitentiaire des Baumettes entre des CRS et une quarantaine de personnes présentées comme des militants proches de mouvements anarchistes.

Équipés de djembés et d’un groupe électrogène, ceux-ci entendaient s’installer devant la porte de l’établissement afin d’offrir une fête de la musique aux quelque 2 000 détenus. Les « porteurs de musique » n’ont pas pu approcher de la prison où de nombreuses familles attendaient leur tour de parloir. Aucun incident n’a eu lieu.

LaProvence

petit rajout MIA : » les anarchistes  » ont pu approcher la prison par l ‘arrière , qui donne sur le bâtiment de la maf (maison d’arrêt des femmes ) et cela  malgré la présence des camions de CRS qui tenter de bloqué l’accès ! a cet endroit les détenu(es) ont entendu la batukada , un échange vocal a eu lieu de dedans à dehors et vis versa !!!

cropped-mia1.jpgONT DIRAIT BIEN QUE LES SOURIS TROUVENT TOUJOURS OU CE FAUFILER !