Rencontre avec des femmes grecques autour d’un thé ou d’un café…

Prolotes Samedi 2 mai 2015 à 14h30

local de Shebba La Paternelle, bd Alphonse Allais, 13014

Rencontre organisée par Shebba, Marseille Résistance, Quartiers Nord Quartiers forts, Engagements citoyens

Avec leur emblème : un poing levé dans un gant de ménage rouge, et leur franc parler : « Nous ne sommes pas des connasses, nous sommes des femmes de ménage ! »

[Marseille] Projection de « Remue-ménage dans la sous-traitance »

2011-02-03_220926Projection vendredi 20 mars 2015 à 20h
Au Polygone étoilé, 1 Rue Massabo, 13002

« Remue-ménage dans la sous-traitance »

Film documentaire réalisé par Ivora Cusack
Produit et distribué par 360° et même plus
Projection en présence de la réalisatrice.

Soirée accessible au public sourd. En partenariat avec le magazine de culture sourde Art’Pi. En présence d’interprètes en langue des signes du CIL (https://fr-fr.facebook.com/people/Cil-Interpr%C3%A8tes/100007846185960)
Entrée libre – buvette et restauration sur place
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[Marseille] Appel à la Marche de nuit non-mixte !

vlcsnap-2013-06-21-19h47m58s255 Rendez-vous le 7 mars 2015 :
à 20h00 devant les grilles du palais Longchamp pour le début de la
Marche (côté têtes de lion/fontaine) entre femmes, féministes, gouines,
meufs, trans, lesbiennes.

Pourquoi une marche de nuit ?

La peur entretenue de la nuit fait de l’ombre aux violences de la
journée. NON, les violences n’ont pas d’heure et elles sont partout :
dans les maisons, dans la rue, au travail…
Ceux qui agissent sont nos pères, nos oncles, les amis de la famille,
nos frères, nos profs, nos collègues, nos patrons, nos maris, nos
conjoints, nos amants, nos amis, nos camarades de lutte, nos proches,
des clients, des inconnus, des dragueurs, mais aussi l’État et
l’institution policière.
Ces violences ne sont pas seulement le fait d’individus. C’est aussi le
produit d’un système, d’une idéologie et des lois qui la structurent.
Et l’espace public reste majoritairement – voire exclusivement – le
territoire des hommes, d’autant plus la nuit.
Pour nous, femmes, lesbiennes, trans… la rue est toujours
potentiellement un espace de harcèlements, de reluquages,
d’attouchements sexuels, d’injures, de sifflements… de ras-le-bol et
de peur d’agressions par des hommes. On nous assomme de règles de
conduite qui restreignent nos libertés : « Ne sors pas toute seule le
soir », « Ne mets pas de mini-jupes, tu provoques », « Retire ton
voile ! », ou encore « Fais-toi raccompagner par un homme ». Ces règles
contrôlent nos faits et gestes et, qui plus est, ne nous donnent pas
d’outils pour nous défendre. Continuer la lecture