Prise d’otage aux baumettes

Un détenu d’une trentaine d’années a retenu en otage, hier en début de soirée, une directrice adjointe de la prison des Baumettes. Originaire d’Avignon, l’homme souhaitait obtenir un transfert dans un autre établissement.

Armé d’une barre de fer, mais sans toutefois se montrer violent, le détenu s’est finalement rendu après la négociation menée par la police. Une enquête est néanmoins ouverte.
Source : la ProvRance

STONEWALL MEANS FIGHT BACK !

Projection d’un documentaire à la Marmite (1 rue d’austerlitz) sur les émeutes violentes et spontanées de stonewall en réaction à un raid de la police de new-york la nuit du 28 juin 1969. Ces manifestations sont considérées comme le 1er exemple de luttes des transgenres-gays-lesbiennes contre un système soutenu par les autorités et persécutant les homosexuel(le)s, ça vous inspire ?!?
lundi 6 janvier, 18 H2 films (1 docu + 1 fiction)bouffe et vin chaud à prix libre


 

Feux d’artifice et rassemblements solidaires devant les taules du monde entier

Région parisienne :

Saluts solidaires devant les taules, 31 décembre 2013 : Des pétards, feux d’artifice et des cris (liberté, bonne année, feu aux prisons, courage, etc) ont été lancés simultanément devant les prisons de Bois d’Arcy, Fresnes, devant le centre de rétention de Vincennes, la prison pour femmes de Versailles et celle de la Santé à Paris. À Bois d’Arcy, Fresnes et la Santé, des échanges ont eu lieu entre l’intérieur et l’extérieur.

Liberté pour toutes et tous, avec ou sans papiers.

Amiens :

Feu d’artifice devant la taule d’Amiens : Hier mardi 31 au soir, des feux d’artifice ont été tirés à la Maison d’Arrêt d’Amiens. Cette action anti-carcérale vise à exprimer notre solidarité envers tous les prisonniers.

Feu aux prisons ! Liberté pour tou.te.s !

Besançon :

Feux du nouvel an à la maison d’arrêt de La Butte : dans la soirée du 31 décembre 2013, des feux d’artifice ont été tirés en solidarité avec les prisonniers devant la maison d’arrêt de la butte. Alors que les gens s’échangeaient des voeux hypocrites et tout un tas de conneries pour cette nouvelle année, quelques feux d’artifice ont été allumés devant la maison d’arrêt de Besançon. Des slogans contre l’enfermement ont été scandés (“les prisons en feu les matons au milieu; solidarité avec les prisonniers; pierre par pierre, mur par mur nous détruirons toutes les prisons”). À l’intérieur on pouvait entendre le dawa des prisonniers qui tapaient sur les portes et qui criaient leur rage depuis leurs cellules. Un autre groupe de solidaires étaient également présent devant la taule et tiraient des feux d’artifice.

Détruisons les murs et les frontières qui nous séparent ! Feu à tous les lieux d’enfermement ! Liberté pour tou.te.s !

Angers :

Ce 31 décembre plusieurs personnes se sont retrouvées face aux murs de la maison d’arrêt d’Angers. Des fusées et fumigènes ont été craqué près des ailes ouest et est de la taule. Des cris ont été échangés entre les prisonniers, des voisins et plusieurs groupes venus devant la prison. crève la taule !

Marseille :

Une dizaine de personnes se sont rendues vers 21h devant le CRA du Canet pour crier leur solidarité avec les retenus enfermés à l’intérieur et lancer quelques feux d’artifices. À minuit, devant la maison d’arrêt des Baumettes, c’est une petite trentaine de personnes qui durant une vingtaine de minutes a tiré des feux d’artifices devant la taule, et crié sa haine des murs, d’abord devant la maison d’arrêt des hommes, puis devant l’entrée de celle des femmes. Quelques fumigènes ont été balancé par dessus les murs, devant les encouragements et les cris de joies de nombreux prisonniers. Du côté de la M.A femme, pas d’échanges cependant.

Nantes :

Feux d’artifices devant la maison d’arrêt de Nantes-Carquefou, devant le centre de détention et devant l’EPM de Orvault.

Calais :

Rassemblement devant le centre de rétention.

Athènes (Grèce) :

Manif de solidarité du réveillon devant les prisons de Koridallos, où plusieurs anarchistes sont incarcéré.es : Lors de la manif de cette année, la solidarité s’est fortement exprimée à la fois à l’intérieur et à l’extérieur des prisons de Korydallos. Près d’un millier de personnes solidaires étaient présentes au rassemblement avant minuit et ont commencé à scander des slogans haut et fort. Plusieurs compagnon.nes ont allumé des feux d’artifice, alors que les prisonniers faisaient du bruit et lançaient des objets enflammés des fenêtres des cellules. Peu de temps après que la foule se soit déplacée du parc en face de la prison des hommes à un parking en face de la prison des femmes, les flics anti-émeute ont utilisé des gaz lacrymogènes pour réprimer la grande manifestation et ont chassé les manifestant.es dans les rues avoisinantes. 4 arrestations. photos & vidéo ici.

Feu aux prisons !

Volos (Grèce) :

Manifestation devant la prison pour mineurs. Les manifestants ont scandé des slogans au milieu des feux d’artifice; «La passion pour la liberté est plus forte que toutes les prisons», «Feu et explosion à ce bordel”, et plus encore.
La solidarité est notre arme! vidéo ici.

Larissa (Grèce) :

Réveillon devant la prison, où le compagnon en grève de la faim Spyros Stratoulis est incarcéré. Voir une vidéo ici.

Omaha et Lincoln (Nebraska, USA) :

Des banderoles avec des slogans anti-prison ont été accrochées dans ces deux villes. À Omaha, une manifestation s’est rendue devant la prison et il y a eu du boucan des deux côtés du mur.

Helsinki (Finlande) :

Manif solidaire à la prison pour migrants de Metsäla à Helsinki

Lors de la nuit de la St-Sylvestre, un groupe de 40 personnes a rendu visite au centre de rétention Metsälä à Helsinki. Nous voulions dire aux migrants, emprisonnés en raison de leur origine, que nous ne les avons pas oubliés en pleine célébration du Nouvel An. Nous avons envoyé des salutations de derrière la clôture avec des cris d’encouragement, des tambours, des feux d’artifice et une banderole: Pas de frontières – solidarité avec les prisonniers. Les prisonniers ont pu se précipiter dans la cage qui ressemblait vaguement à un balcon pour entendre notre message, mais après un certain temps les gardiens de l’unité de rétention les ont contraints de retourner à l’intérieur. Après cela, nous avons continué à faire du bruit sous leurs fenêtres.

Les flics ont participé à la manifestation à une gare ferroviaire et ont suivi notre route en parcourant les ruelles latérales à la prison. Sur place les policiers nous attendaient en tenue anti-émeute, torturant leurs chiens en les retenant de force à proximité de l’escouade, du bruit et des fusées, mais ils n’ont pas réussi à bloquer l’accès au grillage entourant la prison. Dès le début les flics se sont comportés de manière agressive, nous menaçant avec violence, avec les chiens et gaz lacrymo et poussant les gens à terre. Lorsque le moment est venu de se retirer de la grille, les flics ont attaqué la foule et ont réussi à prendre deux manifestants avec eux, tandis que deux autres ont réussi à s’échapper. Les manifestants arrêtés ont été libérés le lendemain.

L’unité de rétention est un établissement fermé pour 40 migrants, des personnes retenues par la police ou par le contrôle des frontières en vertu de la loi finlandaise sur les étrangers – pas à cause de n’importe quel délit. L’emprisonnement dure généralement pendant des semaines, au pire jusqu’à six mois ou plus. La prison des migrants de Metsälä est actuellement la seule en Finlande, et est constamment remplie de «clients» allant des enfants aux adultes. En règle générale, les immigrés emprisonnés à Metsälä attendent de se faire expulser par les flics en coopération avec les autorités de l’immigration et, par exemple, les compagnies aériennes.

En montrant notre solidarité nous critiquons aussi les États-nations et leurs politiques frontalières qui génèrent le racisme et les inégalités économiques. En détruisant la liberté de circulation les frontières permettent l’exploitation du travail pas cher et poussent les gens à s’affronter les uns aux autres. Les frontières sont une entreprise qui tue des gens comme «l’incident» Lampedusa le 3 Octobre nous l’a montré, quand 363 immigrés se sont noyés sur la côte italienne, aux frontières de l’Union européenne. Cette entreprise mortelle ne s’arrête pas aux frontières nationales: c’est une politique transversale de contrôle, visant à surveiller, identifier et gouverner tout le monde au nom des menaces sur la sécurité.

Solidarité avec les migrants emprisonnés ! Nous attaquerons les raisons de nos souffrances. Il n’y aura plus de frontières demain!

Traduit de l’anglais par le chat noir émeutier

Brême (Allemagne) :

Près de 80 personnes se sont rassemblées devant la prison de Oslebshausen à Brême. Les slogans scandés à l’extérieur ont répondu aux cris et barouf des prisonniers. Accompagnés de musique, les manifestant-e-s ont lancé des feux d’artifice; Un texte « pour une société sans prisons et pour la liberté de tou.te.s » a été lu au mégaphone. De la peinture a également été balancée sur les murs de la prison.

Traduit de l’allemand par le chat noir émeutier

Münich (Allemagne) :

Lors de la nuit de la Saint-Sylvestre, une vingtaine de personnes s’est rassemblée devant les murs de la méga-prison de Giesing (qui enferme plus de 1500 personnes). E, plus des slogans lacés pour la liberté de tous les prisonniers, des tags ont été inscrits (comme “les prisons en feu”) et des dizaines de sacs de peinture ont été balancés sur la tour de contrôle et les murs de la prison.Traduit de l’allemand par le chat noir émeutier

Berlin (Allemagne) :

500 personnes se sont rassemblés devant la prison de Moabit à Berlin et lancent des feux d’artifice. Ensuite, dans les quartiers de Berlin, plusieurs accrochages avec les flics ont lieu.

Stuttgart (Allemagne) :

Rassemblement de 300 personnes devant la taule de Stammheim. Ensuite, manif sauvage contre les prisons et pour la solidarité révolutionnaire dans les rues de Stuttgart.

Turin (Italie) :

Nouvel an au CIE : À sept heure du soir, une quarantaine de solidaires se sont retrouvés sous les murs du CIE de Turin pour saluer les retenus avec slogan, battiture et feux d’artifice. Les retenu-e-s ont répondu en criant et des colonnes de fumée se sont élevées des aires blanche et jaune : dans la cour des matelas et des couvertures brûlent. Un retenu a tenté de s’évader en faisant un trou dans le grillage, mais il a été arrêté par la police avant d’avoir pu escalader le mur d’enceinte.

Un peu avant minuit, une cinquantaine de solidaires se sont rassemblés devant la prison de la Vallette et se sont rapprochés au plus près du bloc D malgré la présence des flics. Chansons, slogans, fumigènes et feux d’artifices ont été lancés.

Utrecht et Schipol (Pays-Bas) :

Rassemblement devant le camp de rétention de Zeist à Utrecht et 100 personnes devant le centre de rétention de Schipol aux cris de liberté pour tous les prisonniers personne n’est illégal.

Campagne électorale (bis)

Un incendie s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche au domicile d’un conseiller municipal d’opposition, Armel Lande.
Trois à quatre foyers ont été allumés dans sa résidence. La villa a été détruite à 80%. Le propriétaire était absent au moment des faits. Il a découvert le sinistre dimanche matin. C’est un riverain qui a alerté les secours. La piste criminelle ne fait pas de doute, selon les enquêteurs.

La provence

Campagne éléctorale

Un militant UMP de Martigues a déposé plainte pour « coups et blessures ». Selon la version donnée par la tête de liste UMP, Michèle Vasserot, par voie de communiqué, l’’agression s’’est produite au lendemain de Noël, jeudi, vers 23h. « Un de nos militants a été sauvagement agressé par trois hommes portant des cagoules, alors qu’il commençait à encoller un panneau d’affichage libre », relate-t-elle.

La provence

Le père Noël est une ordure

Huit individus, dont au moins deux mineurs, ont été interpellés ce samedi après-midi, près du boulevard Baille (5e) à Marseille.
Armés et encagoulés, ils se faisaient ouvrir la porte par des particuliers en jouant sur l’effet de surprise, puis leur dérobaient les cadeaux de Noël, dont des consoles de jeux et des téléphones portables.
Une partie du butin a été retrouvée rue Sainte-Cécile. Les huit auteurs présumés sont en garde à vue. L’un d’eux, formellement reconnu par ses victimes, aurait déjà reconnu les faits. L’enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Marseille.

La provence

La prison des Baumettes insalubre

L’observatoire international des prisons (OIP) a de nouveau saisi mercredi le tribunal administratif de Marseille d’une demande d’exécution d’une ordonnance de référé concernant l’insalubrité de l’établissement.

Un an après, rien a changé. Décembre 2012, le contrôleur général des prisons, Jean-Marie Delarue, dressait un constat accablant sur les conditions de détention dans la prison des Baumettes. « Rats qui pullulent, sols recouverts de détritus, douches cassées et crasseuses, absence de cloisons d’intimité dans les toilettes, carence d’eau potable, réseau électrique déficient, coursives et cellules inondées à chaque averse », la liste dressée par l’Observatoire international des prisons (OIP) était sans équivoque.

Des conditions de détention « scandaleuses » selon Jean-Marie Delarue, dénonçant également « une violation grave des droits fondamentaux », exacerbée par un taux de surpopulation dramatique, une pénurie d’activités et une situation de violence généralisée ».

Des mesures insuffisantes

A la suite de ce rapport, l’OIP saisi le tribunal administratif de Marseille pour obliger l’établissement a mené des travaux d’urgence. Problème : 12 mois plus, l’installation d’une cloison d’intimité dans les cellules, tard les travaux d’étanchéité, la mise en conformité électrique et la remise en état des monte-charges ne sont toujours pas fait constate l’observatoire.

« Dans les documents qu’elle a transmis, l’administration ne démontre pas avoir effectué les travaux exigés, et dans la plupart des cas, ne justifie pas les avoir seulement entamés », indique l’observatoire dans un communiqué qui a donc de nouveau saisi mercredi le tribunal administratif de Marseille d’une demande d’exécution d’une ordonnance de référé.

« L’OIP déplore que des recours en justice successifs soient encore nécessaires pour contraindre les autorités à respecter leur obligation de ne pas soumettre les personnes détenues à des traitements inhumains et dégradant », indique-t-il dans le document.

metronews.fr

Solidarité NO-TAV

 Dimanche 22 Décembre, on s’est bougé à une quinzaine de personnes pour aller lever les barrières du péage souterrain du Prado à Marseille, en solidarité aux compagnon-ne-s italien-ne-s incarcéré-e-s depuis le 9 Décembre à Turin en Italie sous accusation de terrorisme pour une attaque du chantier du TAV en Val de Susa en Mai dernier. Cinq voies ouvertes, banderoles « Contre la LGV – No Tav », « Trop c’est trop », « Péage prix libre ». Au bout de 10 minutes, le tunnel qui traverse Marseille et le péage seront fermés par les salariés, nous faisant partir plus tôt que prévu mais avec la satisfaction du blocage d’un axe important de la ville.
Forza a tutti e tutte, Claudio, Chiara, Mattia et Niccolo liberi! Tutti liberi!

trouvé sur nantes.indymedia.org

Du Son Contre La Prison

Du Son Contre La Prison, c’est vendredi 9 mai 2014 à Ursa Minor, Saint Etienne.
Le projet Du Son Contre La Prison est né en 2010 avec la volonté d’envoyer un message de solidarité aux prisonniers et prisonnières, tenter de briser l’isolement le temps d’une soirée et de créer un moment d’unité via les ondes. Il s’agit concrètement d’un concert organisé par un collectif anti-carcéral, concert qui est retransmis en direct sur des radios un peu partout en France pour qu’un maximum de détenu-e-s puissent l’écouter. Avant toute chose, un grand merci à toutes les personnes, les radios et les collectifs qui nous ont accompagné-es dans cette aventure lors des éditions précédentes. Et tout particulièrement aux 21 radios qui ont permis, ce printemps 2013, de diffuser Du Son Contre La Prison dans 43 lieux d’enfermement. Organiser ce genre d’événement est une façon pour nous de ramener la question carcérale sur le devant de la scène. Cette année, dans les médias de masse, on a entendu les discours humanistes de l’Etat français sur la lutte contre la surpopulation carcérale et sur la promotion des aménagements de peines ; en réalité, le pouvoir durcit la détention. On continue de construire en grand nombre des prisons de plus en plus sécurisées et aseptisées, rendant les conditions de détention encore plus dures et l’isolement toujours plus prégnant. La répression de toute forme de contestation est bien sûr toujours aussi forte, accumulant les peines aux peines et reculant sans cesse l’espoir d’une libération. De la même manière, les projets comme celui de la «contrainte pénale» (bracelet électronique, contrôle judiciaire…) ne visent pas à éviter d’aller en prison, ils tendent à mieux nous enfermer dehors. Si des moyens financiers sont systématiquement trouvés lorsqu’il s’agit de complaire aux gardiens (comme cela a été le cas à la prison de Séquedin au printemps), les revendications des prisonniers et prisonnières sont tues, alors qu’après tout ce sont les premièr-es concerné-es par la machine pénitentiaire. Heureusement, des détenu-e-s lèvent la tête et ont le courage de dénoncer ce qu’ils et elles subissent de la part de l’administration pénitentiaire. Cette année sont sorties plusieurs lettres individuelles et textes collectifs, comme à Seysses et à Neuvic-sur-Isle, pour rendre publiques ces situations et appeler à du soutien extérieur. La colère face à l’enfermement s’est aussi traduite par des mouvements collectifs, notamment cet été dans les prisons de Bourg-en-Bresse, Blois, Chateaudun et Bois d’Arcy où la révolte s’est propagée en quelques jours comme une traînée de poudre. Du Son Contre La Prison, c’est aussi se faire l’écho de ces luttes, avec la volonté de développer les solidarités entre l’intérieur et l’extérieur, et ce à travers l’outil radio. C’est aussi se faire plaisir en écoutant du bon son! «Le premier pas pour briser ces chaînes, c’est rompre le mur de l’indifférence. La solidarité est une arme, utilisons-la.» Extrait de l’appel de la Coordination de détenus italiens, septembre 2013.
Contact: dusoncontrelaprison@yahoo.fr
Nous avons donc besoin de relais dans les différentes régions qui fassent connaître l’initiative Du Son Contre La Prison derrière les barreaux et partout où cela peut intéresser. Le but est de faire en sorte que la communication entre intérieur et extérieur circule au mieux pour donner à la retransmission radio le plus d’impact possible. Concrètement ça peut être plein de choses : diffuser l’information du concert et de sa retransmission aux parloirs pendant les semaines qui précèdent l’événement, recouvrir les murs d’affiches, contacter une radio qui ne fait pas encore la rediffusion, assurer l’aspect technique de la rediffusion dans votre radio locale, parler du concert dans vos émissions de radio… et tout ce que vous imaginerez!

Une bibliothèque à la marmitte

Dimanche 22 Décembre à 18 heures, Réunion ouverte pour la mise en place de la bibliothèque autogéré de la Marmite.
Le Seul Problème ferme ses portes et transfère sa bibliothèque au Centre Social et Autogéré « La Marmite » avec ses BéDés, littérature populaire, polar, féminisme, mouvement libertaire, histoire sociale, expériences collectives, … Besoin de monde pour aider à gérer, tenir des perms etc car elle est encore à construire pour que chacunE puisse venir emprunter des livres gratuitement et sans adhésion (fuck les cartes d’adhésion!) et pourquoi pas se retrouver pour des discussions autour d’un livre ou de différentes thématiques (féminisation, mouvement historique, luttes…). L’espace est disponible pour organiser au gré des envies et des besoins nous contacter sur le blog inter-squat à venir ou sur place…
38 cours Gouffé 13006 Marseille (Métro Castellane)
NB/ Bouffe à 20 heures pour celles et ceux qui le souhaitent !

Concert de soutien

Pour rassembler un peu de thune et renflouer la tirelire de la Caisse d’Autodéfense Phocéenne (Une caisse d’autodéfense est en train de voir le jour à  Marseille. Elle se veut être un outil pour briser l’isolement face à  la police et à  la justice. On cherche à  s’organiser avant que les coups durs nous tombent sur la gueule, et à  se serrer les coudes face à  la répression.) à partir de 21h ce samedi à  la Marmitte (38, cours Gouffé, Métro Castellane), concert de ouf, au programme : HANDS UP (retrofuckers locaux, pop-rock glamour chromée) FUTUR(S) MORT(S) (bizzarerie pour guitares, avec des membres d’ULTRADEMON, Toulouse) ULTRADEMON (rock instrumental en zig-zag, avec des membres de FUTUR(S) MORT(S)) +++ des mixes intenses pour danser encore entrée, vin chaud, limonade gingembre, bar, bouffe prix libre. Viens nombreuxses.

Vive la belle…

Dans la nuit de mercredi 18 décembre, un détenu s’est fait la belle après avoir brisé la vitre d’une fenêtre dans le quartier des peines aménagées à Luynes.
« On ne sait pas pourquoi il a fait ça », explique à La Provence, le directeur de la maison d’arrêt, Frank Linarès, « ce quartier est un sas entre la prison classique et la réinsertion, basé sur la confiance, beaucoup moins sécuritaire donc, et malheureusement malgré les rondes parfaitement effectuées par mes agents, il a trahi cette confiance ». La police est à la recherche du fuyard.

La provence

Solidarité incendiaire

Paris : Vinci brûle en solidarité (Le 14 décembre 2013)
Dans la nuit du lundi 9 décembre, une camionnette de Vinci (constructeur de taules et de centres de rétention) part en fumée, rue Haxo dans le XXe. Comme un dialogue avec l’incendie du centre de rétention du Canet, pour lequel des retenus passaient en procès le 26 novembre dernier,et dont chacun des deux retenus ont écopé un ans de prison ferme !
Feu à toutes les prisons !

cette semaine