au 38 rue Clovis Hugues à la Belle de mai (Marseille 3eme)
Venez partager un moment, un gâteau, un avis sur un bouquin, proposer des
trucs…
Au programme de septembre :
Les permanences de la bibliothèque tous les samedi de 14 à 18h
Les ateliers de français tous les mardi à 18h30
L’assemblée du Kiosque le dimanche 14 septembre à 14h
contact : lekiosque1312@gmail.com
Le Kiosque est un lieu où se croisent des chaises, une cafetière, des
tracts, des brochures, une bibliothèque et des gens… Certains se
retrouvent pour faire tourner le lieu, d’autres pour se rencontrer. Des
collectifs s’y réunissent. On y va pour partager, échanger sur des luttes,
des colères. On y écrit un texte et on en discute. On y attrape de l’info
et on en dépose. On lit une BD, on va à une projection, un débat.
Dans ce lieu, on partage des expériences, des vécus, des résistances, des
solidarités, au travail, en prison, en centre de rétention mais aussi face
à un contrôleur social, un collègue sexiste ou raciste, un promoteur, un
patron… On met en commun des pratiques de lutte et des réflexions contre
le salariat, l’argent, la propriété, l’état, tout ce qui arrange et permet
le profit, et aussi contre le racisme, le sexisme, tout ce qui fonde les
hiérarchies.
Par l’articulation des expériences et des idées nous voulons interroger
nos pratiques et porter une critique en actes de l’autorité et du
capitalisme.
Nous voulons essayer de dépasser les rapports d’exploitation et de
domination qui s’alimentent et organisent nos vies et nos relations.
Pour se rencontrer, s’entraider, lutter et s’émanciper, nous faisons le
choix de nous organiser en assemblée. La discussion permet de prendre des
décisions au consensus, de composer avec les différences de points de
vues,
et d’exprimer doutes
et désaccords.
Les assemblés se tiendront une fois mois et toute personne qui partage les
bases de ce projet peut venir proposer quelque chose (activité,
discussion), s’impliquer dans le fonctionnement.
Les activités sont gratuites ou à prix libre en soutien à des luttes, pour
que l’argent ne soit pas un critère d’accès.